Appartement "vipaire"

J'etais sortie de la taverne au côté de mon futur cuisinier et peut être même ami, pour rejoindre mes appartement au sein de l'église.
Je suis entré et l'est mené dans mon petit trois pièces pratiquement vides. La pièce principale qui n'était constitué que d'une table en bois et quelques tabourets en plus d'un buffet en guise de rangement et bien évidemment la cheminée avec mon chaudron déjà sur le feu. Les légumes étaient placer dans une grande coupelle en bois, sur la table, au côté d'un lièvre chassé se matin.
Les couteaux, louches, vaisselle, etc, était dans mon buffet, dans un coin de la pièce.
Je n'ai pas tenu à lui montre ma chambre, je ne crois pas que se sois utile, mais si il y tenait elle n'était constituer seulement de mon lit, d'une armoire et d'une bassine remplis d'eau, rien d'intéressant ...
Je lui sourit en pausant mon arc contre la cheminé et gardait mon grand sac sur mon épaule .
" je te laisse un court instant le temps que j'aille renger sa." lui dis-je en parlant de mon sac.
Je compte le renger dans la dernière pièce de mes appartements, celle que je garde toujours fermé la clé, on ne sais jamais qui aurait la mauvaise idée de fouiner dans cet endroit pas vraiment fréquentable par un civile.

L’inconnue me fait traverser la ville. Il a arrêté de pleuvoir et nous marchons dans les rues mouillées de la métropole. Nous marchons dans le vomi des clochards, les effluves acides agressent mes narines. Avec une douceur enjôleuse la chasseuse ouvre la porte de son appartement. Je  suis frappé par le manque de mobilier, l’appartement est d’un spartiate impressionnant. La demeure est à l’image de sa propriétaire, propre et austère. Je lorgne la chambre à coucher du coin de l’œil, l’envie me brûle mais je ne laisse rien paraitre sur mon visage. La table est faite d’un bois massif et ancien. Mon hôte me fait signe avec grâce de m’installer à la cuisine. Son visage se fend d’un sourire malicieux. Elle m’annonce qu’elle va s’éclipser pour ranger son arme. C’est parfait, j’ai le temps de dissimuler mes "champignons magiques " dans le plat, elle sera droguée avant qu’elle s’en rende compte. Je les mélange avec la sauce. Je coupe la viande, un jeune et tendre lapin, avant de la mettre dans la marmite. « Le civet sera bientôt prêt, tu veux goûter ? » Le piège est tendu. 

J'étais dans ma piece fermé à clé et je trafiquais le corp du mort qui était dans mon sac, je ressant encore la magie et la force de celui-ci, c'est insupportable de devoir faire sa avec une tel atmosphère.
J'entends Jarvis faire du bruit dans la cuisine se qui signifie qu'il est en train de cuisiné, je sans l'audeur du plat, sa sens si bon que j'en oublirais presque les sentiments que le cadavre me procure mais deriere cette charmante audeur un parfin inconnu m'interromp, cette audeur, elle est... Différente... Et sa ne sens rien de bon, c'est le cas de le dire.
Je fronce les sourcils et reprend mes activités en lui disant d'une vois enjoué : "non merci, j'arrive juste après !"
On aurait presque dit que je souriais dans ma vois. je ne préfère pas ouvrir le corp sans vie du  magicien tout de suite, mon hôte (qui cuisine pour moi.) risquerais de sentir cette audeur dégoutante que les boyaux dégage. Encore si l'odeur des rues que nous avions traversé ne l'avait pas dégouté j'aurais sûrement tenter le cou mais se serais une mauvaise idée de le faire fuir d'aussi tôt.
Je laisse donc le cadavre allongé sur la table et ouvre la porte sans montrer se que la pièce renferme puis sort. Je ferme la porte à clé et la range discrètement dans mon décolleté.je repris mon petit sourir et le rejoins près du chaudron.
"Sa sens tras bon."

J’entends des doigts tripoter la chair du pauvre homme. En observant la porte je remarque que le loquet est fermé. Mais que peut bien faire cette femme avec ce cadavre ?!  A vrai dire je ne veux pas le savoir. Je respire alors le plus doux des parfums, celui de la décomposition d’un être magique. C’est un sorcier mort que la femme à trainer. Je vais le bouffer, je vais le bouffer, je vais le bouffer ! Du calme Jarvis, tu n’es pas dans ton état normal. Je lui souris quand elle refuse de goûter mon plat. J’en avale une cuillerée, je suis habitué aux champignons et ils ont moins d’effets sur moi. La jeune femme ressort de sa chambre le même sourire désinvolte sur le visage. Elle me complimente sur les effluves de notre douce pitance. J’apporte le civet sur la table et nous sers de belles portions à chacun. « Mangez donc, ça va refroidir ! » Je lui souris. Elle me plait vraiment, j’espère qu’elle ne m’en voudra pas trop.

Il me sers, j'hésite intérieurement a manger mais après tout il n'a pas l'air d'être malfaisant...
J'avale une première boucher puis enchaîne rapidement les autres, je suis affamé et c'est si bon. Sa change de mes repas habituel..
Qu'est ce que c'est bon, je ne quitte pas mon plat des yeux et une fois celui-ci terminé je me sens un peut bizarre.
Ma tête commence à tourné et je n'arrive plus à voir clair, il ne m'aurait pas droguer tout de même? Je l'invite chez moi, même si c'est pour cuisiné, c'est rare qu'une personne inconnu vienne dans mes appartements, bref, je l'invite chez moi et il en profite pour fouiné son né chez moi en me laissant dans cet état, non mais je rêve ?! Je sens la colère s'emparé de mon corp mais reste diplomate et, avant de perdre la tête, je me lève et parle avec un légé mal à articulé :
" je... Tu... Merci pour la nourriture et pour tout cela mais je crois qu'il est temps de partir. Je... " je pause ma main sur ma tête, la douleur me lance et je recule vers mon arc. Un seul geste et je lui trensperce le bras, même avec le mâle que je peut avoir à voir, une fois ma cible trouvé mes flèches finissent toujours la ou je le veux.

Elle l’a mangé ! Elle a mordu à l’hameçon, la drogue se disperse dans son organisme. Tu l’as regarde perdre pied, c’est un spectacle presque touchant. Elle papillonne des yeux et commence. Elle se lève en chancelant, ses cuisses légères ne peuvent plus soutenir son petit corps. Ses excuses te font document rire. Elle essaie d’atteindre son arme lorsque l’effet des champignons atteint son maximum. Elle s’effondre en prenant son arc dans les mains. N’est-elle pas charmante dans sa disgrâce. Je me lève pour m’approcher de la damoiselle paralysée. Elle peut tout voir et tout sentir mais elle est incapable de bouger. « Je suis vraiment désolé, ça n’a rien de personnelle, croyez moi, je vous apprécie beaucoup… Pardonnez-moi » Je ramasse son arc et la fouille. Je trouve la clef de sa chambre dans son décolleté. J’ouvre la lourde porte pour y trouver le cadavre du sorcier. Je prends la magie que je peux récupérer sur lui. Je dépose un baisé sur les lèvres de ma captive avant de partir froidement, je n’ai aucun plaisir à faire ça. « Je m’appelle Jarvis, j’aimerais beaucoup vous revoir et vous rendre votre arc mais il faudra me trouver »

Mais quel salopard!
Celui là je vais me faire un plaisir de le trancher en deux! Un peut que je le retrouverais! Et en plus il prend mon arc?! Non mais je rêve ou quoi?! Je ne peux même pas bouger et encore heureux pour lui! Car sa charmante dentition me l'aurais payé chère ! Non mais j!en reviens pas! Un culot pareil mérite des claques!!
Raaaaa! Et en plus il ause m'embrasser! Non mais quel porc!!!
Mais le pire! La chose que je ne supporte absolument pas! C'est qu'il me vole mon arc se connard! Mais je vais le tuer celui là! À main nu de préférence !